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vendredi 11 décembre 2009

Bambi



Bambi 2 part 1 vf

Blanche Neige



Chanson: Blanche neige - On rentre du boulot (S.T FR)

Blanche Neige



Blanche neige et les sept nains partie 4

Blanche Neige



Blanche neige et les sept nains partie 1

Robin des bois



Robin des bois (Disney)

La linéa



La Linea - 001

Chapo Chapi



Chapi Chapo Generique

Laurel & Hardie



Laurel et hardy cartoon partie 3

Neighbors



Buster Keaton - Neighbors (1920)

Les temps moderne



Charlie chaplin


Laurel & Hardy



Laurel et Hardy

Laurel et Hardy formèrent un couple comique du XXe siècle, un duo du cinéma américain de l'Entre-deux-guerres, réunissant Stan Laurel et Oliver Hardy et basé sur un rapport de force et de protection, souvent dans des bagarres ritualisées et polies (pas de critique sociale). Ils ont joué dans de nombreux films burlesques muets et parlants.

Rintintin



Serie Tv - Rintintin - Generique

jeudi 10 décembre 2009

Sunday, bloody Sunday



U2 -  Sunday, bloody Sunday (1983)
Musique du film Blown Away

Take on me



AHa - Take on me

Take on Me est une chanson du groupe norvégien a-ha écrite par Magne Furuholmen, Morten Harket et Pål Waaktaar-Savoy. Elle fut enregistrée pour le premier album du groupe Hunting High and Low, sorti en 1985. La chanson fut cependant ressortie deux autres fois.
Le vidéoclip de la chanson, mêlant animation rotoscopique et scènes filmées, a gagné le MTV Video Music Award for Best New Artist en 1986. Le vidéoclip a été inspiré par le film d'animation Commuter créée par Michael Patterson, et le film Altered States.


Pas de boogie woogie



Eddy Mitchell "Pas de boogie woogie"



Sur la route de Memphis



Eddy Mitchell, souvent surnommé Schmoll, de son vrai nom Claude Moine, né le 3 juillet 1942 à Parisquartier de Belleville) est un chanteur et acteur français. C'est par admiration pour le chanteur et acteur Eddie Constantine qu'il choisit comme pseudonyme le prénom Eddy (orthographe préférée à « Eddie » pour ne pas s'appeler comme son producteur de l'époque, Eddie Barclay). (
Son groupe, Les Five Rocks, fut débaptisé et renommé à leur insu Les Chaussettes Noires par Eddie Barclay, patron de sa première maison de disques, qui avait conclu un accord promotionnel avec la Lainière de Roubaix.

Ca peut changer le monde



CONCERT JOHNNY HALLYDAY STADE DE FRANCE 2009  

Et maintenant



Johnny Hallyday -Et Maintenant (stade de france 2009)




mardi 8 décembre 2009

Clair de lune



Generique : Clair de lune

Synopsis : Le shampooing "Clair de Lune" a fait la richesse et la renommée de Maddie Hayes. A la suite des malversations de son homme de confiance, elle est amenée à gérer elle-même ses affaires. A la tête désormais du cabinet de détective Clair de Lune, elle va faire équipe avec David Addison Jr, un détective play boy et insolent.

Starsky et Hutch



Starsky Et Hutch - Générique

Cette série met en scène deux policiers de Bay City (Californie), une ville imaginaire calquée sur Los Angeles. Le brun David Michael Starsky (Paul Michael Glaser), ayant grandi dans les rues de New York est un peu naïf et très extraverti, tandis que son acolyte, blond, Kenneth « Hutch » Hutchinson (David Soul), est plus réservé et réfléchi. Malgré leurs apparentes différences, ils sont comme des frères l'un pour l'autre. Aidés par leur ami « Huggy Bear » (Antonio Fargas) (dit « Huggy les bons tuyaux » dans la version française), ils résolvent les affaires qui leur sont adressées par leur capitaine Dobey (Bernie Hamilton) de façons peu conventionnelles et très musclées.


L'amour du risque



Serie TV - Pour l'amour du risque

Cette série met en scène les enquêtes menées par un couple de milliardaires, détectives amateurs.

Daktari



Cette série raconte le quotidien de Marsh Tracy, un vétérinaire qui dirige un centre d'études sur le comportement des animaux, à Wameru, quelque part en Afrique.
Mais les véritables héros de la série sont Judy, une guenon impertinente et Clarence, un lion nonchalant doté d'un fort strabisme.

TARZAN



Serie TV - Tarzan (Ron Ely

Tarzan est un personnage de fiction créé par Edgar Rice Burroughs en 1912 dans le roman Tarzan of the Apes, publié pour la première fois en France chez Fayard en 1926 sous le titre Tarzan chez les singes (puis chez les éditions Néo). La bande dessinée et le cinéma consacreront le mythe, bien qu'en particulier pour le cinéma ce soit au prix d'une trahison du personnage d'origine.

Tonnerre de feu



tonnerre de feu le film

Synopsis : Frank Murphy, un ancien du Vietnam, est choisi pour être le pilote du Tonnerre de feu, hélicoptère doté d'une force de frappe exceptionnelle et spécialement conçu pour tout voir et tout entendre...




Les dents de la mer



Les dents de la mer - trailer

Synopsis : A quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d'Amity sont mis en émoi par la découverte sur le littoral du corps atrocement mutilé d'une jeune vacancière. Pour Martin Brody, le chef de la police, il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d'un requin. Il décide alors d'interdire l'accès des plages mais se heurte à l'hostilité du maire uniquement intéressé par l'afflux des touristes. Pendant ce temps, le requin continue à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs... 


Piranhas



Deux campeurs vont se baigner dans un bassin situé dans une zone protégée et se font attaquer par quelque chose se trouvant dans l’eau.
Maggie, une détective, est chargée de les retrouver. Sur place, elle fait la connaissance de Paul et tous deux se mettent en quête des deux jeunes gens. Ils retrouvent la zone protégée, ancienne base militaire qui a fermé depuis. Maggie décide de vider le bassin. Au même moment surgit un homme paniqué qui tente de l’en empêcher. L’homme, un savant, lui explique que les eaux du bassin contenaient des piranhas génétiquement modifiés, capable de vivre en eau douce comme en eau de mer et que ceux-ci sont désormais libres à cause d’elle. Bientôt, les premiers morts apparaissent. Pire encore, une colonie d’enfants s’est établie au bord de la rivière…


Mad Max



Synopsis : Sur les autoroutes désertées d'une Australie méconnaissable, une guerre sans merci oppose motards hors-la-loi et policiers Interceptor, qui tentent de triompher de la vermine au volant de voitures aux moteurs surgonflés. Dans ce monde en pleine décadence, les bons, les méchants, le manichéisme disparaissent...

lundi 7 décembre 2009

Le petit monde de Don Camillo



Le Petit monde de Don Camillo - Extrait FR

Synopsis : Dans la petite ville italienne de Brescello, le curé Don Camillo et le maire communiste Peppone ne cessent de se disputer mais, au final, parviennent toujours par se reconcilier.

Pause café - Pause tendresse



Serie  - Pause Cafe (Debut) -

Cette série met en scène une jeune femme, Joëlle Mazart, qui exerce la profession d'assistante sociale en milieu scolaire.
Dans la première série, Joëlle Mazart gagne la sympathie des élèves d'un lycée de banlieue en leur offrant son écoute autour d'une tasse de café.
Dans la deuxième série, l'héroïne est face à un nouveau défi : convaincre les élèves d'un Lycée d'Enseignement Professionnel qu'ils n'ont pas été orientés vers une voie de garage.
Dans la troisième série, Joëlle Mazart est mariée et mère de famille, elle tente de concilier sa vie de famille et sa vie professionnelle

"C'est quesque j'dit" "C'est quesque j'fait"


La petite maison dans la prairie



La petite maison dans la prairie

Cette série raconte l'histoire d'une famille de fermiers, au XIXe siècle, venue s'installer dans le Minnesota à Plum Creek non loin d'un village nommé Walnut Grove. Elle retrace la vie de Laura Ingalls, l'héroïne, depuis son arrivée dans le village jusqu'à sa vie de mère de famille et d'institutrice de Walnut Grove.

L'homme invisible



Dans l'épisode pilote, le scientifique Daniel Westin travaille pour Klae Industries et a mis au point, avec sa femme Kate un appareil capable de rendre les choses invisibles (alors qu'il travaillait initialement sur un projet de téléportation). Inquiet à l'idée de ce que les autorités militaires pourraient faire de cette découverte, il détruit sa machine et s'enfuit, après s'être rendu invisible. Malheureusement le serum qui lui permet de redevenir visible ne fonctionne plus et il reste invisible de manière permanente. Un de ses amis, le chirurgien Nick Maggio, va lui confectionner des prothèses (un masque pour le visage ainsi qu'une paire de gants pour les mains) afin de donner l'illusion de sa visibilité... Westin passe un marché avec le patron de Klae Industries : On lui accorde le financement pour retourner dans son laboratoire afin de reprendre ses recherches lui permettant de retrouver sa visibilité et en échange, de temps en temps, il offre ces services "d'homme invisible" pour le compte des services secrets.

L' Homme qui valait 3 milliard



L' Homme qui valait 3 milliard - Steve Austin Astronaute


Le colonel Steve Austin fait partie des astronautes à avoir marché sur la Lune. Plusieurs mois après, redevenu pilote d'essai pour la NASA, lors du test en vol d'un nouveau jet, Steve Austin lors d'un atterrissage en catastrophe ne peut éviter le crash de son appareil. Grièvement blessé, certaines parties de son corps, le bras droit, les jambes et l'œil gauche, sont remplacées par des prothèses bioniques à six million de dollars pièce qui améliorent considérablement ses performances. Il peut dès lors courir bien plus vite, voir bien plus loin, soulever des charges bien plus lourdes.
Il devient ainsi un agent secret pour l'OSI (Government Office of Scientific Information - Bureau gouvernemental de l'information scientifique) sous la direction d'Oscar Goldman pour qui il accomplit les missions les plus dangereuses.

La grande vallée



Serie TV - Grande Vallee

Cette série met en scène la saga de la famille Barkley, à Stockton en Californie à la fin du XIXe siècle. Victoria Barkley, veuve énergique, dirige un ranch avec l'aide de ses trois fils, de sa fille et du fils illégitime, métis, de son époux.

Grease



Grease - you're the one that i want

Grease
est une comédie musicale de Jim Jacobs et Warren Casey, créée le 14 février 1972 à l'Eden Theatre de Broadway.
Elle fut popularisée par l'adaptation cinématographique qui en fut tirée en 1978, avec John Travolta et Olivia Newton-John.
John Travolta avait déjà acquis une certaine notoriété pour son rôle dans La Fièvre du samedi soirSaturday Night Fever), mais ce fut Grease qui le rendit vraiment célèbre. La bande originale du film qui mélange rock and roll, boogie-woogie et pop fut « numéro un » des ventes dans de nombreux pays (dont la France avec plus de 1,8 million d'exemplaires vendus pour le single You're the one that I want, l'une des meilleures ventes de singles en France et au Royaume-Uni). (
Une suite, Grease 2 avec Michelle Pfeiffer, fut réalisée en 1982 mais elle rencontra beaucoup moins de succès.



LA charge héroique



Second opus de la trilogie "cavalerie" de John Ford, situé entre Le massacre de Fort Apache et Rio Grande, ce film est la plus belle contribution de Ford au western et au cinéma, un poème élégiaque et nostalgique, véritable œuvre d’art dont nous redécouvrons, avec toujours autant de plaisir à chaque nouvelle vision, les innombrables beautés. Il est néanmoins préférable d’avertir ceux qui ne jurent que par le cynisme de Vera Cruz d’Aldrich ou par le réalisme des westerns de Peckinpah qu’ils risquent de ne pas apprécier cette merveille à sa juste valeur. Il est malgré tout difficile de rester insensible devant une si grande conjugaison de talents qui procure une émotion de tous les instants. Peut-être le film dans lequel le génie poétique, humain et pictural de Ford est le plus éclatant.
Cette trilogie est basée d’une part sur les récits de James Warner Bellah qui recréa une atmosphère en rapport direct avec l’Ouest des tuniques bleues, et de l’autre par les peintures de Frederic Remington, peintre réputé de la gent militaire au siècle dernier. John Ford nous fait entrer de plein pied dans l’intimité de ses soldats ; nous assistons ainsi à la vie quotidienne de ses hommes, soit en patrouille dans les paysages grandioses de Monument Valley, soit en garnison dans les forts construits pour protéger les frontières encore insoumises de l’Arizona et du Texas. Pour l’occasion, le réalisateur crée tout un petit monde folklorique et pittoresque dans lequel se rencontrent vielles ganaches au cœur tendre, officiers honnêtes et spirituels, sous-officiers buveurs, jeunes recrues impétueuses et courageuses, jeunes et jolies femmes audacieuses, capricieuses et aimantes. La sincérité de Ford emporte l’adhésion et le respect qu’il porte à ses personnages empêche ses films de verser dans la sensiblerie.
La chaleur de la vie en communauté sera une des lignes de force de ce film, et quel adolescent n’a pas rêvé, suite à la vision de celui-ci à la télévision, de pouvoir côtoyer et vivre, ne serait-ce qu’un moment, aux côtés de ce groupe d’hommes exemplaire et bon vivant. Solidarité, maintien de la loi et de l’ordre, traditions militaires (le ruban jaune), autant de valeurs qui témoignent de cette foi profonde de Ford dans les rites communautaires qu’il trouvait le mieux représentés dans cette cavalerie américaine qui a su intégrer les anciens ennemis qu’étaient les confédérés et les soldats de l’Union. Vision idyllique certes mais pleine de tendresse, d’humanité, de tolérance et de compréhension, vibrant hommage à ces cavaliers anonymes qui ont participé à la naissance des Etats-Unis d’Amérique. Ford évite ainsi de se jeter la tête la première dans le piège de l’apologie simpliste et balourde du patriotisme (comme c’est souvent le cas dans le cinéma américain actuel)."Faire des films qui témoignent de tant d’amour pour les traditions militaires sans être militariste relève de l’exploit" disait Lindsay Anderson, spécialiste fordien.
Ford avait beau ne pas se considérer comme un grand progressiste, il est utile de rappeler que cet homme n’était ni raciste ni intolérant : il emploie pour figurants, dans ce western comme dans les suivants, les Indiens Navajos afin de contribuer modestement à les sortir de la misère. Au lieu de se livrer à une peinture d’un ennemi indien sanguinaire, il peint une nation fière, victime elle aussi de ses contradictions, les jeunes refusant d’écouter leurs aînés Et puis contrairement à son titre français qui pourrait nous faire croire à un film belliciste, peu de morts ici exceptés trois odieux trafiquants d’armes. Au contraire, le ton du film se rapproche plus de son titre original She wore a yellow ribbon : phrase conjuguée au passé qui annonce la nostalgie, celle d’un monde révolu qu’admirait le réalisateur et celle du personnage principal pour le métier et le groupe qu’il va quitter pour réintégrer la vie civile. La chronique prenant souvent le pas sur l’épique, une émotion intense baigne l’ensemble de ce chef d’œuvre.
Le génie de Ford transpire à chaque instant mais cependant, il serait injuste d’oublier le talent de Laurence Stallings et Frank S. Nugent, auteurs du scénario. Succession de scènes toutes plus belles les unes que les autres, il est difficile d’oublier celle célèbre, d’une exceptionnelle tendresse, au cours de laquelle dans un formidable et baroque crépuscule rougeoyant de studio, Nathan Brittles se rend sur la tombe de son épouse décédée pour lui raconter ce qu’il a fait de sa journée ; une ombre apparaît et monte sur la pierre tombale, c’est celle d’Olivia, émue, venant lui apporter des cyclamens. Impossible de ne pas garder un souvenir attendri de cet autre moment bouleversant au cours duquel le même John Wayne, effectuant son dernier passage des troupes en revue, reçoit de ses hommes une belle montre en argent ; pour y lire l’inscription gravée à l’intérieur, il chausse de petites lunettes, celles-ci n’arrivant cependant pas à cacher les larmes qui lui montent aux yeux (L’idée des lunettes a été improvisée par l’acteur lors du tournage de la scène). Mais il faudrait aussi parler de ses petits gestes apparemment insignifiants et de ces plans muets qui sont la marque de fabrique de Ford : Brittles tapant sur l’épaule d’Olivia pour la consoler, chiquant pour se donner de la consistance au moment de prendre des décisions importantes…
De conception et d’exécution profondément romantique, le film se développe à une cadence sereine, ce qui ne l’empêche pas de comporter de nombreuses scènes d’actions épiques et mouvementées magnifiquement réalisées. Le générique est déjà en soi une petite merveille : le fameux ruban jaune flotte tout du long accompagné par la chanson-titre chaleureusement entonnée par un chœur d’hommes qui pourrait être celui des soldats. Le film s’ouvre ensuite directement sur la superbe chevauchée d’une diligence emballée et sans conducteurs et se termine par la fameuse charge pleine de fougue et de vigueur. La scène de la poursuite de Ben Johnson par les Indiens est même tellement parfaite que Ford la retournera quasiment telle quelle dans Le convoi des braves sans presque y changer un angle de prise de vue.
La belle composition de Richard Hageman, mélange de thèmes tendres, épiques et de chansons traditionnelles sert admirablement le film ainsi que la somptueuse photo de Winton C. Hoch à l’oscar amplement mérité. L’irréalisme flamboyant des couleurs procure une joie sans aucune mesure : les bleus profonds des uniformes, les rouges des ciels au crépuscule, la beauté des tenues soldatesques et coiffures indiennes, tout est d’une beauté confondante. Monument Valley n’a jamais été aussi bien photographié (même la photo de La prisonnière du désert n’est pas aussi renversante) et la perfection des cadrages prouve une fois de plus qu’un film n’a pas obligatoirement besoin du format large pour procurer de l’ampleur aux paysages et à l’action : les images de la troupe avançant à pied sous l’orage ne sont pas prêtes de s’effacer de nos mémoires. La cavalerie est filmée ici par Ford et Hoch dans une sorte de folklore idéalisé : les paysages, les hommes et les chevaux sont tous revêtus de leurs traits les plus séduisants et ce n’est pas pour nous déplaire.
Le plaisir visuel est d’autant plus fort qu’il est constamment accompagné d’une intense émotion due à une interprétation hors-pair. Le casting se compose de Ben Johnson en ex-officier sudiste spirituel ; John Agar et Harry Carey Jr, les deux soupirants de la magnifique et espiègle Joanne Dru ; George O’Brien et Mildred Natwick, le major et son épouse ; Victor McLaglen, personnage de sergent pittoresque dont la scène de beuverie est l’une des plus dynamique du cinéma de Ford ; enfin, nous ne pouvons pas finir ce dithyrambe sans parler de John Wayne dans le plus beau rôle de sa carrière, tout du moins le plus émouvant, celui de ce capitaine sur le point de quitter l’armée. A aucun moment, nous ne pensons que l’acteur était beaucoup plus jeune que son personnage et la performance n’en est que plus touchante. Cette interprétation est faite de petites touches, une certaine manière de chiquer, de fumer, de se racler la gorge et de répéter des phrases devenues célèbres comme Ne vous excusez pas, c’est un signe de faiblesse. Tour à tour sévère, drôle, attendrissant, colérique, droit, humain, le Duke prouve ici, s’il en était besoin, qu’il était un formidable acteur.
L’une des ambitions du 7ème étant de faire rêver le spectateur, nous ne pouvons décemment pas reprocher à Ford son manque de réalisme, la sincérité de sa vision d’un formidable humanisme n’étant peut-être pas plus fausse que l’excessif cynisme d’autres artistes aussi talentueux. C’est pour cette même raison que la pirouette finale, fortement chargé émotionnellement, ne sent pas la volonté des producteurs de terminer sur une fin heureuse mais est typique du caractère optimiste de Ford à cette période bénie de sa vie, et comme l’a dit Allan Eyles "C’est là la plus attendrissante et la plus pardonnable des happy-ends !" *
Une simplicité et une pureté de la mise en scène, un constant ravissement pour les yeux, les oreilles et le cœur, un film éclatant d’humour, rempli de respect et de tendresse pour ses personnages, traité avec vigueur, romantisme, poésie et panache, cette charge héroïque est l’une des plus belles oeuvres que nous ait données le cinéma.
Bonus critique : extrait de La grande aventure du western de Jean-Louis Rieupeyrout’ (1964) : "…Ainsi le film permit à l’histoire de se développer sur un plan dynamique et un plan sentimental dont l’étroite alliance colora le style de Ford des teintes retrouvées ultérieurement : tout ce qui peut émouvoir, enflammer, faire vibrer, se rencontra ici sous le joli titre enrubanné, air du folklore militaire particulièrement prisé du réalisateur."
* John Wayne edition Henry Veyrier 1976




Juste après



Jean-Jacques Goldman Frédériks - Juste après

Séquence émotion


dimanche 6 décembre 2009

Staying alive



Bee Gees, Staying alive (1978)

Musique du film "La fièvre du samedi soir"


Sensualité



Axelle Red - Sensualite

Sensualité

by Axelle Red

Jamais je n'aurais pensé...
"Tant besoin de lui"
Je me sens si envoûtée
Que ma maman me dit: ralentis
Désir ou amour
Tu le sauras un jour

J'aime j'aime
Tes yeux, j'aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité

Oh stop un instant
J'aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d'années
Ta sensualité

Il parait qu'après quelques temps
La passion s'affaiblit
Pas toujours apparemment
Et maman m'avait dit: ralentis
Désir et amour tu le sauras un jour

J'aime j'aime
Tes yeux, j'aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité

Oh stop un instant
J'aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d'années
Ta sensualité

Je te demande si simplement
Ne fais pas semblant
Je t'aimerai encore
Et encore

Désir ou amour...




La planète des singes



La planète des singes (1968) - trailer

Synopsis : Egaré dans l'espace-temps, un engin spatial américain s'écrase en 3978 sur une planète inconnue. Les astronautes Taylor, Landon et Dodge découvrent que les hommes primitifs de cette planète mystérieuse sont placés sous le joug de singes très évolués...